La collection des oblitérations des bureaux français au Levant a toujours été populaire. Dès la fin du XIX° siècle, les philatélistes recherchent ces oblitérations. Ils ne se privent pas de décoller les timbres des lettres ou de les découper ; c’est beaucoup plus facile à ranger dans les albums. C’est ce qui explique la grande différence de prix entre les timbres détachés et les lettres de ces établissements exotiques. C’est ce qui explique également la grande quantité de lettres truquées.
Aussi nombre de collectionneurs s’intéressent-t-ils aux oblitérations sur timbres détachés qui sont beaucoup moins onéreuses et pour lesquelles on peut se montrer plus exigeant sur la qualité.