Il s’est écrit des milliers de lignes sur Jean Sperati. Même les plus récentes œuvres passent sous silence ou éludent des faits qui ont été de notoriété publique mais oubliés. Il y a plus de trente ans, dès la première édition de « Faux et Truqués », je donnais quelques éléments montrant que la carrière de Sperati avait commencé bien plus tôt que la plupart des philatélistes le pensaient. Des documents datés et incontestables mettent en évidence la longue carrière de faussaire et d’escroc de Sperati et de sa famille.